Notre conception de l’entraînement est basée sur l’information que MAT^® nous donne du fonctionnement de la musculature de la personne. C’est pour cela que qu’on l’appel renfort musculaire et pas entraînement personnel. C’est une question de concept : de l’exercice physique adapté à l’individu basé sur les chaînons faibles détectés et corriges avec MAT^® avec l’objectif de les renforcer. De cette façon, on optimisera les résultats de l’entrainement en réduisant au maximum le risque de souffrir de la douleur ou lésion. Se mettre en forme chez Gamma Bcn Activación Muscular est différent à n’importe quel autre centre car notre point de départ est la connaissance des points faibles de la personne afin de lui adapter au maximum l’exercice physique pour qu’elle puisse en tirer profit de tous ses bienfaits au niveau esthétique, physiologique et psychologique.

Faire de l’exercice par défaut n’est pas toujours sain. Ça dépend de la quantité, de l’état de l’individu et de la manière qu’on le fait. S’il y existe un chaînon faible très marqué, celui-ci ne sera pas éliminé même si l’on fait beaucoup d’exercice. MAT^® permet de détecter et de corriger les chaînons faibles de notre musculature avec le but d’optimiser le fonctionnement de notre corps. Son état pourra donc s’améliorer afin de pratiquer de l’exercice physique avec la certitude de que tout fonctionne comme il faut. La pratique d’une activité physique va générer les effets désirés sur notre corps que s’il existe de l’équilibre sur le bon fonctionnement de nos muscles. Autre que ça, il serait comme jouer à pile ou face car on ne saura jamais si le fait d’en faire de l’exercice va nous provoquer des effets positifs ou négatifs sur notre état physique.

Un corps « musclé » ou « tonifié » est le résultat de suivre un type d’entraînement combiné avec de règles d’alimentation déterminées. Cependant, cela ne veut pas dire qu’il n’existe pas de dysfonctionnements sur la musculature qui prédisposent le corps à la souffrance de douleur, lésion ou limitation de la performance sportive. Pour obtenir des résultats esthétiques ou structuraux il est nécessaire d’entraîner de manière vraiment intense. Si l’exigence de l’entraînement est majeure, le stress qui reçoit les muscles le sera aussi. Ce facteur est décisif au moment de provoquer des altérations sur le bon fonctionnement de la musculature. MAT^® est l’outil idéal pour corriger les possibles dysfonctionnements musculaires survenus comme conséquence de la réalisation de l’exercice physique exigeant. En plus, il permettra d’optimiser les capacités du corps, pouvant même entraîner à une intensité plus haute en obtenant encore plus et meilleures changements à niveau esthétique (hypertrophie, « tonification » musculaire...). Par conséquence, cette technique peut être une grande alliée pour ceux qui souhaitent obtenir ce genre d’adaptations dans leur corps puisque cela leur aidera à l’exécution des exercices a la limite des ses possibilités tout en diminuant au maximum le risque de souffrir de la douleur ou lésion.

Il y en a qui croit que réaliser des étirements avant ou après une séance d’exercice avec le but de mieux préparer le corps pour la pratique du sport si on les fait avant, ou bien afin de récupérer la musculature après l’effort si on les réalise après, peut être bénéfique. Il y en a aussi qui les réalisent comme moyen d’augmenter leur « flexibilité » ou mobilité articulaire car ils pensent qu’essayant d’être plus mobiles ils obtiendront des bénéfices pour leur corps. Et il y a de personnes qui les font afin de relaxer des muscles très tendus avec l’objectif de réduire les gênes et l’inconfort associés à l’excès de tension.

Dans n’importe quelle de ces situations, réaliser des étirements ne répond pas à l’objectif par lequel ils se mènent à terme et en plus, dans de nombreux cas, ils peuvent aggraver le problème qui motive les réaliser en prédisposant la personne à la douleur, la lésion ou la limitation de la performance sportive.

À chaque fois qu’un mouvement a lieu, il y a de muscles sur un côté de l’axe articulaire qui se raccourcissent afin de pouvoir le réaliser et sur l’autre, de la musculature qui s’étire. Donc, l’étirement est inhérent au mouvement articulaire. Le problème surgit quand on essaie de le forcer au-delà de la capacité qui a notre corps de le mener à terme. Notre système nerveux limite un mouvement lors qu’il détecte de dysfonctionnements dans les muscles qui doivent le réaliser. Pour cela, il augmente le niveau de tension de la musculature qui l’évite. Ceux-ci seront les muscles qui tout le monde voudra étirer parce qu’ils seront plus tendus que d’habitude. Mais cette tension est conséquence d’un dysfonctionnement présent dans le corps et c’est la manière qu’il a de nous protéger devant cette altération. Donc, étirer est un fait une manière d’essayer d’éliminer de manière forcée un mécanisme de protection de notre corps. Sans le savoir, on pourra se prédisposer à la lésion, la douleur ou la limitation de la performance sportive. On déprotégera l’articulation puisque le mouvement ne sera pas contrôlé et nous, en étirant, voudrons le forcer alors que notre système nerveux est justement en train de le limiter car il ne le contrôle pas. Et le mouvement sans contrôle est potentiellement nuisible.

Dans les cas où l’on ressent l’excès de tension sous forme de contracture ou surcharge, les deux symptômes obéiront aussi à la meilleure solution trouvée par notre corps afin de continuer en bougeant, sur la base de l’état du fonctionnement de la musculature. Celle-ci peut souffrir des dysfonctionnements quand on est soumis à stress de tout genre (mécanique : tenir la posture pendant des heures, exercice physique, répétition d’un mouvement, fatigue accumulée... ; chimique : mauvaise alimentation, déshydratation, intolérance à certains aliments... ; psychologique : choc émotionnel, pathologies psychiatriques, état dépressif...) ou trauma (coup, intervention). Face à cette situation, notre corps compensera le dysfonctionnement d’un muscle ou de plusieurs, en utilisant d’autres à leur place. Ceux-ci remplaceront, lors du mouvement, à ceux qui ne fonctionnent pas de manière adéquate. Comme conséquence, ils augmenteront son niveau de tension habituelle car ils doivent travailler plus qu’ils devraient. Avoir l’intention d’enlever cette tension avec des massages ou des étirements provoquera seulement un soulagement temporel et jamais ne l’éliminera pas complètement, car elle sera motivé par un dysfonctionnement musculaire qui aucune de deux pratiques résout lors de leur application. La meilleure des manières de le faire sera en détectant où se trouve l’altération du fonctionnement de la musculature qui motive l’excès de travail de quelques muscles et la résoudre. De cette façon, ceux qui sont en train d’être sur utilisés diminueront leur tension excessive jusqu’aux niveaux habituels dès que le problème soit résolu.

Dans toutes les manières, réaliser des étirements ne pourra que nuire le bon fonctionnement de notre corps et ils ne résoudront jamais les causes qui provoquent de la limitation dans la mobilité (moins de « flexibilité ») et surcharge ou contracture. MAT^® permet de résoudre l’origine de ces situations en corrigeant les dysfonctionnements musculaires qui altèrent les niveaux de tension optimaux de la musculature.

Une option plus saine pour l’intégrité de nos articulations et muscles serait en menant à terme des « RACCOURCISSEMENTS ». Si l’on considère que la musculature s’en charge du mouvement, l’idée serait celle de mener un mouvement à la limite de la même manière que l’on fait quand on a l’intention d’étirer mais, au lieu de forcer avec l’autre main ou avec l’appui d’un banco ou d’un mûr....le mener à terme nous mêmes. L’idée serait faire exactement le même mouvement et le maintenir le même temps que quand on étire, mais en étant nous même qui atteignons la limite du mouvement sans le forcer, en lui raccourcissant ou en contractant nos muscles. Ainsi, on ira jusqu’au point où notre corps le permet, sans forcer et sans risque d’atteindre de positions qui pourraient déprotéger l’articulation et casser les barrières naturelles imposées par notre système nerveux.

Croire qu'on va réussir á éliminer la douleur de dos avec la pratique de la natation est illusoire dans la plupart de cas. La douleur est la manifestation de quelque chose qui ne va pas bien et c’est la conséquence de dysfonctionnements musculaires qui altèrent la capacité de notre corps de bouger et contrôler de manière adéquate les articulations. S’ils n’ont pas une solution de manière spécifique, on ne réussira pas à améliorer le fonctionnement de notre corps et donc, à éviter l’apparition de la douleur survenue par la surcharge ou la tension excessive. Si le système nerveux n’a pas un control adéquat sur un ou un groupe de muscles, il ne pourra pas les contracter quand il en aura besoin et il va se servir d’autres à sa place. Ainsi, la meilleure manière qui trouvera notre corps pour continuer à faire possible le mouvement, sera avec la substitution de ces muscles là qui ne fonctionnent pas de manière adéquate par d’autres qui peuvent les suppléer dans leur tâche de mener au but le mouvement. Par conséquence, la réalisation d’exercice générique tel que la natation n’éliminera pas les chaînons faibles. Il est fort possible que la différence entre les muscles sur-utilisés, car ils mènent un travail excessif, et ces autres qui présentent de dysfonction devienne encore plus grande. Ce fait peut même augmenter le problème de la douleur et le dysfonctionnement musculaire présent. MAT^® détecte et corrige les chaînons faibles et optimise le fonctionnement de notre corps en évitant l’apparition des surcharges ou de la douleur. Si on est face à ces circonstances, elle aidera à la récupération rapide.

Faire de l’exercice générique n’assure pas que le fonctionnement de notre musculature soit optimal et n’élimine pas non plus les éventuels chaînons faible qui puissent exister en conditionnant la gestion de notre corps du mouvement et des articulations. Si le système nerveux n’a pas un contrôle adéquat sur un ou un groupe de muscles, il ne pourra pas les contracter quand il en aura besoin et il va utiliser d’autres à sa place. Ainsi, la meilleure manière qui trouvera notre corps pour continuer à faire possible le mouvement, sera avec la substitution de ces muscles là qui ne fonctionnent pas de manière adéquate par d’autres qui peuvent les suppléer dans leur tâche de mener au but le mouvement. Par conséquence, faire des abdominaux n’éliminera les chaînons faibles. Il est fort possible que la différence entre les muscles sur-utilisés, car ils mènent un travail excessif, et ces autres qui présentent de dysfonction devienne encore plus grande. Ce fait peut même augmenter la douleur lombaire. Donc, dans ce cas, l’idéal c’est de localiser et pallier le dysfonctionnement qui le provoque parce qu’il peut rendre plus grave ce mal pour ceux personnes qui font des abdominaux. MAT^® pourrait détecter et corriger sa cause en évitant une tension excessive ou la surcharge sur la zone lombaire.